Crowdfunding, business angels… Les banques se montrant moins prêteuses, nouvelles réglementations obligent, les financements alternatifs se multiplient. Mais, là aussi, la sélection est rude.

Il n’a jamais été facile, pour un entrepreneur, d’obtenir un crédit bancaire afin de financer le démarrage de sa société. Trop risqué. Aujourd’hui, les banques sont plus frileuses que jamais à financer la recherche et développement et autres dépenses d’amorçage, la nouvelle réglementation de Bâle III leur imposant de renforcer considérablement les fonds propres placés en face de leurs engagements les plus risqués. Résultat,  les alternatives au financement bancaire montent en puissanceLe crowdfunding – qui met en relation quasi directe, via des plateformes Internet, des porteurs de projets avec des particuliers désireux d’investir ou de prêter leur épargne – a permis de collecter près de 80 millions d’euros en France, en 2013. Un montant trois fois supérieur à celui…

 

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